dimanche 7 septembre 2008

La maison tropicale

Sur une idée du ministre des colonies françaises de l'époque (dans les années 50), l'architecte Jean Prouvé avait imaginé cette maison tropicale, en préfabriqué, qui devait promouvoir une architecture industrielle de qualité à destination des colonies.

Trois d'entre elles seulement, sur les 2 000 initialement prévues, furent construites et montées, l'une à Niamey (au Niger), et les deux autres à Brazzaville (au Congo).

Elles ont été vendues récemment chez Christie's - pour la modique somme de cinq millions de dollars.

Yves Chaland aurait adoré.

27 commentaires:

Li-An a dit…

Serge Clerc aussi, mais bon, passons :-))

Anonyme a dit…

ça ne prouve rien.

Anonyme a dit…

Ted benoit aussi

Anonyme a dit…

Walther minus

Anonyme a dit…

Ever meulen

Anonyme a dit…

joost sawarte

Anonyme a dit…

torres surtout

Anonyme a dit…

Manara.... Manaraaaaa.

Anonyme a dit…

floc'h tout simplement

Anonyme a dit…

crumb

Anonyme a dit…

peyo

Hobopok a dit…

Pile-poil la maison que je vais me faire construire à Madagascar. Donne les plans, options, tarifs, délais, etc...

Anonyme a dit…

J'ai vu cette maison dans Furyo

Anonyme a dit…

Vraiment, ton blog est le plus troublant de la blogosphère. Tu écris avec des mots qui deviennent ensemble comme vivants.
Kiss!

Anonyme a dit…

Appollo, l'habit de barde ne te va pas du tout, ne te déguise pas , le roi c'est toi, on t'as reconnu, et puis ne fais pas mine de t'éclairer à la chandelle quand tu es le soleil, lui -même.

Anonyme a dit…

Quand tu parles d'architecture et de bande dessinée, c'est si Clerc, si Chaland, tes paroles naissent de source pure
ta voix vient de là-haut en amont du brouhaha qui embrume la plaine
tu parles comme je respire
je t'écoute à poumons déployés
je peux enfin avec quelqu'un échanger de l'air,
je comprend tout ce que tu dis, je sais de quoi ça parle, enfin on me parle de maison et de bricolage.
comme toi je vois tomber les rayons météores du soleil, je les vois briller avant qu'ils brulent en touchant l'air, avant la nuit car on va plus vite qu'elle, on ira les attraper au vol, Appollo, qu'ils nous emmènent, d'un trait de plume changer en or le plomb de tout à l'heure
c'est facile,
il n'y a qu'à continuer la lumière
il n'y a qu'à laisser notre main comme une ombre la suivre et tracer le chemin qui boucle l'arc en ciel.

Anonyme a dit…

Promotions sur le contre plaqué. Venez en famille.

Anonyme a dit…

Et sur les tantes y'a des promos ?

Anonyme a dit…

Ecrase tapette.

Anonyme a dit…

Il tape sur des bambous et c'est numéro un
Dans son île on est fous comme on est musicien
Sur Radio Jamaïque il a des copains

Anonyme a dit…

Moi aussi j' écris avec des mots qui deviennent ensemble comme vivants.
Moi aussi je suis le soleil, lui -même.
Moi aussi je tape sur des bambous et c'est numéro un
Moi aussi, dans mon île on est fous comme on est musicien
Moi aussi, sur Radio Jamaïque j'ai des copains

Ma main aussi, est comme une ombre qu'il faut suivre et qui trace le chemin qui boucle l'arc en ciel.

Alors venez vers moi comme Appollo.
Suivez nous vers le deuxième soleil, celui de la transcendance astrale.

Anonyme a dit…

Je vous envie. Vous êtes trop cools.

Anonyme a dit…

J'ai vu cette baraque dans un film érotique de M6.
Elle a sur moi un effet boeuf.

Anonyme a dit…

L’art, et plus particulièrement la bande dessinée, est fort relié à la sexualité : la créativité est un sexe qui pénètre l’esprit du public, qui, fécondateur, envoie des idées et des images dans leurs esprits, comme un flot de sperme !

Anonyme a dit…

vive Walther Minus. Le plus incompris de la ligne claire

Anonyme a dit…

hhannnnnng alors les jeunnnes, hannnng..

Anonyme a dit…

sa-li!
c'est la première fois que je li-viens sur ton blog.
C'est li-classe.