samedi 2 mai 2009

Rouge Brésil


La tentative de colonisation du Brésil par les Français au XVIeme siècle, racontée par Jean-Christophe Rufin.

Ce long roman avait reçu le prix Goncourt en 2001, et le sujet - la France équinoxiale - me titillait depuis longtemps. Malheureusement, c'est un échec, et le récit ne tient que par son sujet - et encore.

Rufin ne parvient jamais à faire vivre ses personnages, dont la psychologie est parfois à la limite du roman sentimental, il ne réussit pas non plus à rendre l'espace (un comble pour un récit qui se passe sous les tropiques) et finalement tout ça est assez mal écrit - ou, disons, platement écrit, ce serait plus juste. Pas de souffle, pas de vie, que des intentions foirées.

Beau sujet gâché. Passez votre chemin.

11 commentaires:

jean-christophe Rufin a dit…

Grand lecteur de votre blog, je suis très déçu par votre critique à l'emporte pièce!

PS/ vous pouvez vous asseoir sur votre prochain poste.

ancien copain a dit…

Salut j'étais en primaire avec toi..
Steph! j'était fou de "téléphone" comme toi...
ahahaha.
J'ai toujours les mêmes convictions.
On devrait se croiser autour d'une merguez!!!

soldat luis a dit…

le hard-rock est en marche et il va à nouveau conquérir le monde mec!.

pinck and hard a dit…

yeeeeaaa, je suis open for the motopinck!!!

Ruphus a dit…

Que la lumière pleuve sur les femmes nues.

Peter DAUB a dit…

Bonjour, il me semble que vous serez très intéressés par mon interview.

Soggy a dit…

"Né en 1978 des cendres d’obscurs groupes rémois (Woman Bleed, Antéchrist, Hardfuckers, …), Soggy se compose alors de Beb (chant), Eric Dars (guitare) et Olivier Hennegrave (batterie), puis incorpore dans ses rangs François Tailleur (basse). Après s’être fait la main sur des morceaux d’Alice Cooper, Black Sabbath, MC5 et des Stooges, le groupe compose rapidement son propre répertoire et développe un son au croisement du Hard et du Punk Rock Stoogien, style qu’ils rebaptiseront « Hard Wave » par dérision pour les étiquettes Hard Rock ou New Wave (!) dont ils sont affublés. Ce mélange détonnant restera leur marque de fabrique jusqu’à la fin. Le groupe répète assidûment, s’enregistre à plusieurs reprises (en studio comme en répet), s’entoure d’un staff technique considérable, tourne et retourne les MJC de Champagne-Ardenne, défoncera aussi le Gibus, le Golf Drouot, et ira faire parler la poudre jusqu’en Allemagne, Belgique, Hollande et Suisse. Leur professionnalisme et leur débauche d’énergie légendaire sur scène leur permet de décrocher un article dans Best en octobre 1980, puis de monter à Paris en avril 1981 afin d’enregistrer les morceaux « Waiting for the war » et « 47 chromosomes » au studio Florida. Fin mai marque la consécration du groupe avec la sortie de ces deux titres sur un 45t auto-produit qui atteint la 5ème place au classement des ventes du plus gros disquaire de la région rémoise, et avec le passage sur FR3 Reims du clip « Waiting for the war ». Contacté par plusieurs maisons de disques pour l’enregistrement d’un album, mais refusant de chanter en français, le groupe ne sera jamais signé. Après plus d’une centaine de concerts au compteur, le groupe se sépare en juillet 1982 alors qu’il devait assurer la première partie de la tournée européenne de Judas Priest…"

Pour commander l'album: http://www.memoireneuve.fr/

Le blog du groupe: http://soggy.over-blog.fr/

Bruno (de Masserac) a dit…

Bonjour, j'ai trouvé ce ticket dans un portefeuille à votre nom. Désirez vous le récupérer ? Je garde le portefeuille, il y a vingts francs dedans.
Cordialement,
Bruno.

Stress a dit…

Fais gaffe à ta gueule, car c'est nous qu'on a le stress !

amur a dit…

...

Une fille a dit…

Jean de Lery est très bien.