Au nord de Luanda, entre la ville de Cacuaco et Barra do Dande, le long de la baie, s'étend la plage de Santiago. 
Le dimanche, les familles ou les groupes de jeunes viennent se baigner entre les épaves, danser à côté des candongueiros qui les ont emmenés, et boire quelques cucas. 
L'épave du Karl Marx, rongée par la rouille, à quelques dizaines de kilomètres de la capitale de l'Angola, a forcément quelque chose de symbolique.
Pour une raison qui m'est inconnue, c'est un véritable cimetière de bateaux en tout genre : cargos, bateaux de pêche, vraquiers, grands, petits, angolais ou étrangers. Je ne sais pas combien il y en a, des dizaines peut-être.
Le dimanche, les familles ou les groupes de jeunes viennent se baigner entre les épaves, danser à côté des candongueiros qui les ont emmenés, et boire quelques cucas.L'épave du Karl Marx, rongée par la rouille, à quelques dizaines de kilomètres de la capitale de l'Angola, a forcément quelque chose de symbolique.
2 commentaires:
T'as pas vu le Clémenceau, t'es sûr ?
Que lieu plus étrange, paraît qu'à tout moment, comme dans un ancien film de terreur, des squelettes ils surgiran dans la plage, de toute façon on voit un lieu très encouragé… Ici les plages estan remplis pépinières et baigneurs qui concurrencent par l'espace. Salutations
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