Je dis la 2, et il me dit "Ouais, pareil que moi, mec."
Il faut dire que la veille, Didier Gonord, qui est le directeur artistique de chez Futuro, avait fait une proposition.
Grand Pingouin lui répond donc qu'il voit plus un truc comme ça, mais dans son comme ça, il y a désormais une station service :
Didier Gonnord lui dit que la faire toute noire, c'est peut-être encore plus radical :
Puis, il réfléchit, et il dit, sinon, avec la station derrière, mais comme ça, c'est pas mieux ?
Alors là, Stéphane répond oui et moi aussi, on va faire comme ça (enfin surtout Stéphane, moi je ne vais rien faire, j'ai juste dit qu'il fallait les parenthèses dans le titre).
7 commentaires:
Il faut mettre pauline à poil entrain de courir sur l'autoroute, la nuit, sous une pluie battante.
Un petit côté Aldrich tu vois...
Ou alors plus Rohmerien, érotisme sénile... cuisse de jeune fille mouillée par la pluie.
Un peu de cul quoi...
C'est le problème de la nouvelle BD (protestante) d'auteur, on ne veut pas faire bander.
C'est mal.
C'est mal et vulgaire.
Le dessinateur le moins bandant de l'histoire de la BD, Trondheim, a montré la voie de la puribonderie il y a bientôt 10 ans. Abandonnat lâchement l'érotisme pour le laisser entre les mains des dessinateurs pour troufions.
Ce dégommage de l'érotisme est devenu un dogme, la signature du bon goût.
Seuls les américaines ont continué à travailler intelligemment la question de la pulsion sexuelle.
Ne laissez pas le cul entre les mains des faiseurs!
Pensez aux illustres ancêtres Pichard et Forest...
Moi, voyez vous, le sexe c'est mon affaire.
On ne voit plus la croix de Malte, c'est bien dommage.
Le grunge à l'écharpe rouge a une jambe bien courte.
Les parenthèses sont mal foutues.
Dernier rebondissement :
Je préfère celle avec fond noir.
À Roger : cet album est très subtilement conçu comme un lent et délicat effueillage de l'héroïne. Du cul dès la couve, serait spoiler.
Arrête tes rebondissements, Grand Pingouin, tu vas vomir !
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